Quelques photographies d'Alan
Jeanine Conte à la fenêtre de sa maison
Une tourterelle sur le faîte du toit
La maison Irac, l'ancien fossé porte de Benque
La placette près du fossé de l'église
La rue de l'église
La villa des Roses de Mme Creusot
Le fossé de l'église du temps des nénuphars
Une fleur de nénuphar
La porte d'un jardin à fonicarde
Le balcon de la famille Vidaillac
Les beaux portails en fer forgé,
A droite dans le fer forgé, la lettre "N" pour Mle Nogues, le "B" pour sûrement Mr Boudouve
La vie s'accroche sur les murs d'Alan
La porte de Marignac, le fossé et le grand tilleul
A droite la maison de Mme Magnani
Année "1609" sur le fronton de la porte
La place vers le monument aux morts
La place vers l'église
Deux anciennes portes de la maison Coffe
La maison Coffe à droite, la maison Bellan à sa gauche
La route de Martres-Tolosane
Un papillon vulcain
Fonicarde
Fonicarde
Depuis fonicarde, les beaux murs des jardins
Fonicarde, les beaux murs des jardins
Vers la porte de Benque
Les colombages
La porte de Benque
Les murs des jardins, la petite tour à droite
1737
L'ancienne fontaine publique, fin de construction du puit le 24 février 1895
La rue pavée
Les pavés
La maison d'Artémia
Je surveille
A droite la maison de Lucienne qui vendait les journeaux
La place, à gauche l'ancien emplacement de la bascule publique achetée le 10 août 1913
La maison de la tour barbacane
Jardins près de l'évéché
La maison Irac à droite, la maison Dorléac au fond à droite,
la maison Garrabé au fond à gauche, la maison de Betty à gauche
La rue de l'église
La place, au milieu l'ancienne boulangerie Bordes
La petite rue de la maison Garrabé
Le lavoir
Le lavoir
La fontaine du Hontau, déterrée et reconstruite le 12 novembre 1893
Quelques explications :
Afin de redonner aux lieux leur charme d’antan, j’ai gommé certains objets, pour ne pas dire beaucoup, de notre modernité.
J’ai également embelli les prises de vue en faisant disparaître quelques malencontreuses imperfections.
Ces quelques retouches ne dénaturent pas le sujet, au contraire, elles le mettent en valeur.
La photographie reste naturelle, l’œil n’est pas déçu par un corps étranger.
La liste à la Prévert des éléments que j’ai fait disparaître :
- affichage électoral,
- antennes TV,
- arbres et arbustes,
- borne d'incendie,
- brouettes,
- cabine téléphonique,
- câbles électriques,
- câbles téléphoniques,
- citerne de gaz,
- containers de poubelles,
- échafaudages,
- guirlandes de fête,
- gouttières,
- hangars agricole,
- herbes folles et végétation,
- lampadaires,
- le panneau lumineux de l'an 2000 sur l'église,
- murs en parpaing,
- palette en bois,
- panneaux de circulation,
- plaques d'égout,
- poteaux de téléphone,
- poteaux électriques,
- ralentisseurs de voitures,
- réfection de crépis de façades,
- suppression de fissures sur les murs,
- suppression de personnages,
- spots halogène,
- tuyau d'arrosage,
- tuyaux d'évacuation de l’eau,
- tuyaux de fosses sceptiques,
- voitures,
- etc...